« …Les mélodies mélismatiques d’un piano très oriental (Mathieu Bélis), l’archet mélancolique du violoncelle (Nicolas Carpentier) et des percussions en transe (Thomas Ostrowiecki), unis en une fusion jazz tissée d’impressions vives et d’emballements lyriques. Joli ! »
(Anne Berthod – 2T Télérama)
